Paul Mironneau et Claude Menges-Mironneau
Consulter la liste des catalogues raisonnés d'inventaire de collection de musée produits par la RMN-GP
Aller sur le site web du Château de Pau

Résultat de recherche

48 dessins trouvés pour :
Technique = Peinture

C’est le cardinal de Florence, Alexandre de Médicis (1536-1605), futur pape Léon XI en 1605, alors légat pontifical, qui reçoit cet acte diplomatique et religieux de haute importance. Illustration de la vie et du règne du premier des Bourbons, certes, mais aussi, à n’en pas douter, démonstration du pouvoir d’influence des maîtres de Florence et de leur maison, de leur dévouement à la cause de l’Église : on devine dans cette œuvre une forte charge politique, servie par la qualité…

Pierre Catherine Amilhau (Toulouse, 1793 – id., 1860), fils d’un notaire de Toulouse, lui-même avocat dans cette ville, fut nommé par Dupont de l’Eure procureur du roi près la cour royale de Toulouse. Élu en 1831 député de Haute-Garonne et constamment réélu sous Louis-Philippe, il soutint la politique du ministère de Casimir-Périer. Il devint premier président à la cour de Pau en 1836.

Jean-Louis Dufau (Pau, 1785 – id., 1839) était fils d’un avocat au parlement de Navarre qui mourut président à la cour de Pau. Il suivit la carrière paternelle : en 1811, il était avocat général près la cour impériale de Pau, en 1818, avocat général près la même cour. Suspecté de bonapartisme au début de la Restauration, il fut relevé de son poste en 1816 mais rappelé en 1820. En 1831, il était élu député des Basses-Pyrénées et réélu en 1834. Nommé procureur général près la cour…

Second épisode de la suite raisonnée de scènes biographiques faisant suite à la mort d’Henri IV exposées à Florence le 16 septembre 1610 pour le service funèbre organisé par les Médicis, la présente composition décrit la magnanimité du roi de Navarre à l’égard de ses prisonniers, à l’issue de la victoire remportée à Coutras le 20 octobre 1587. Le format de ce probable état préparatoire, la manière pleinement italienne de cette œuvre dont l’iconographie paraît avoir été traitée…

Pierre de Saint-Cricq (Arance, 1772 – Pau, 1854). Après une carrière administrative (conseiller d’État en 1815, directeur général des douanes la même année), il fut élu à la Chambre par le département de Seine-et-Marne en 1816, et en 1820 par celui des Basses-Pyrénées. Créé comte puis pair de France par le roi, il devint ministre d’État en 1827, détint le portefeuille du Commerce et des Manufactures. Après le coup d’arrêt porté à sa carrière par la révolution de 1830, il rentra…

Fleurette, fille d’un jardinier de Nérac, aimait le jeune Henri de Navarre ; mais, désespérée par la princière inconstance de son amant, la malheureuse enfant se serait noyée à la fontaine de leurs rendez-vous clandestins, aujourd’hui fontaine de la Garenne. L’histoire est moins triste que la légende, puisque Fleurette se consola et survécut. Quant à Henri, la même année 1572, au mois d’août, il épousait Marguerite de Valois.
Le Toulousain Jean-Louis Bezard, élève de Guérin et…

Pierre Chaumont Liadières (Pau, 1792 – Paris, 1858). Ce polytechnicien officier du génie avait été placé sous haute surveillance sous Louis XVIII. Il devint officier d’ordonnance de Louis-Philippe. Député des Basses-Pyrénées de 1834 à 1848, il appartenait au « parti des princes ». Poète de circonstance, auteur dramatique, il écrivit les vers de la cantate consacrée à l’inauguration de la statue d’Henri IV.

André Manescau (Pau, 1791 – Paris, 1875) fut reçu avocat, mais se consacra à ses activités de propriétaire agronome, de maître de poste et de maire de Pau (de 1843 à 1848). Il avait constitué une bibliothèque de plus de cinq mille cinq cents volumes qui fut acquise pour le palais impérial de Pau en 1867 puis transférée en 1888 à la bibliothèque de la ville. Élu député des Basses-Pyrénées en 1849 à l’Assemblée législative dans les rangs des conservateurs-monarchistes, il ne fit…

Eugène Deveria

Parmi les portraits manquants, mais cités dans cette liste, on notera celui de Jean-Baptiste Roger d’Henneville (Amiens, 1781 – Paris, 1856), inspecteur du mobilier de la Couronne chargé par Louis-Philippe, à partir de 1838, d’organiser le mobilier du château de Pau. Cadet au régiment de Flandre à Lille en 1792, il avait participé entre 1815 et 1830 à l’organisation de cérémonies officielles.

Paul Gabriel Bascle de Lagrèze (Larreule, Hautes-Pyrénées, 1785 – Paris, 1850). Sous-préfet à Foix lors des événements de 1814, conseiller à la cour royale de Pau en 1816, il siégea au conseil général des Hautes-Pyrénées. Il épousa une proche parente de Bernadotte et eut trois fils : le premier, Gustave, qui le remplaça à la cour de Pau et au conseil général des Hautes-Pyrénées, s’affirma dans la pratique de l’histoire locale, le second mourut devant Sébastopol, le troisième était…